26/07/2012

Gabon : Le vote entre parenthèses, la bouffe mise en avant !

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Elle a faillit bien avoir lieu, la large concertation nationale souhaitée par le Premier ministre, Raymond Ndong Sima.

Et l’on savait déjà à l’avance à quoi allait aboutir les travaux de cette concertation : la mise en place d’un gouvernement d’ouverture, d’union nationale ou de consensus ; gouvernement dans lequel devait siéger André Mba Obame et ses amis de l’opposition et de la société civile véritables (sic).

Et comme cela est devenu une habitude en ce doux pays, ce sont les intérêts du peuple gabonais qui vont être mis en bière car ici, seuls comptent les intérêts de ces politiciens qui disaient pourtant être préoccupés par le bien-être des populations. Foutaises que cela !

Pour tout dire, l’opposition et la société civile véritables font croire à leurs ouailles, par presse véritable interposée, avoir obtenu de François Hollande la garantie qu’elles seront bientôt conviées à la soupe et cela, bien que certains vétérans de la politique nationale aient déjà commencé à percevoir leurs retraites dorées.

Pour un observateur de la vie politique gabonaise, « il n’y a rien d’étonnant à cela, Mba Obame, Myboto et tous leurs semblables étant devenus incapables de vivre en marge du pouvoir et des avantages qui lui sont liés. Pour ces genslà, attendre encore quatre ans était devenu un vrai supplice, raison pour laquelle ils préfèrent aujourd’hui laisser tomber les masques et afficher leurs vraies valeurs. »

Des valeurs qui se résument en fait en un mot : manger. Aux frais de la princesse.

Mais c’est vrai également que sevrés du mangement, on ne voyait pas ces durs à cuire accepter de se serrer la ceinture jusqu’en 2016, tant leurs chances de remporter l’élection présidentielle de cette année-là n’ont d’égales que celles de remporter la formule 1.

On sait, en effet, qu’André Mba Obame ne pourra plus jamais se faire élire à la tête du Gabon après sa campagne ethnique et violente menée en 2009. Dieu !

On sait aussi ce que serait devenu ce pays si d’aventure cet homme avait été porté à sa tête. On en voudrait pour preuve la montée du sentiment xénophobe, fruit d’une campagne de presse savamment ourdie par « sa » presse. A côté, Jean Marie Le Pen et son Front national passeraient pour des enfants de coeur !

On peut aussi imaginer ce que serait devenu ce pays, le Gabon, si Mba Obame et ses ouailles en avaient pris les commandes en 2009.

Un pays dont la langue de travail aurait été changée, car personne ne peut croire qu’une fois installé au Bord de mer, le Précédent de la république aurait eu assez de poigne pour tenir en laisse la horde de ses inconditionnels qui, en 2009 justement, proclamaient partout, « c’est notre tour ». Leur tour pour quoi faire ?

Ali Bongo Ondimba a demandé au Premier ministre d’organiser en septembre prochain, une large concertation nationale sur les questions de gouvernance au Gabon. Il ne s’agit pas ici d’enterrer la politique du chef de l’Etat contenue dans son projet de soc iété « L’Avenir en confiance ». Loin de là.

Il s’agira pour ceux des Gabonais qui n’ont que ce pays en partage, de se mettre ensemble pour imaginer ce que sera ce pays demain. Ce sont ces Gabonais qui seront, pour certains d’entre eux, appelés au gouvernement pour matérialiser les conclusions de ce forum national.

Et dans ce gouvernement, ils ne feront qu’appliquer les grandes lignes du projet de société présidentiel. C’est cela, le prix réel de l’ouverture envisagée.

Tout le contraire des rêveries d’un certain Petit Lambert Ovono, qui parle déjà d’« ex émergence ».

C’est curieux comme le mangement peut rendre les gens cyniques et mesquins : ils ont eu perdu dans les urnes, mais ils revendiquent quand même une place au soleil!

D’où cette question toute aussi cynique : une fois bien callés au gouvernement, comment appelleront - ils Ali Bongo Ondimba ?

 

Gabon: Bilié By Nzé cloue au pilori les censeurs des actions d’Ali Bongo Ondimba

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En fin de semaine dernière, à la faveur de la tenue de sa traditionnelle conférence de presse et avec sa légendaire verve, le Porte-parole de la présidence de la République, M. Alain Claude Bilié By Nzé n’est visiblement pas allé avec le dos de la cuiller.

Ce, pour démonter, pièce par pièce, les fallacieux arguments dont usent les « vrais opposant » et autres censeurs autoproclamés des actions menées par le président Ali Bongo Ondimba.

Un exercice de style par lequel le Porte-parole de la présidence de la République a véritablement cloué au pilori les principaux leaders de l’ex-Union nationale (UN) ainsi que tous leurs affidés tapis dans l’ombre. A savoir: leurs cerbères d’une certaine société civile gabonaise et suppôts résidant à l’extérieur du pays.

Aussi, structurant ses avis point par point et commençant d’abord par toutes les allégations gratuites tendant à assimiler les visites de travail à l’étranger du chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba à des simples séjours d’agrément, M. Alain Claude Bilié By Nzé a balayé d’un revers de la main ces grotesques affabulations.

Rappelant à cet égard les éloquents dividendes engrangés par le Gabon à l’issue de l’ensemble de ces divers déplacements déjà effectués par le président de la République, depuis son accession à la magistrature suprême.

Cela, au niveau tant de la ruée des investisseurs étrangers vers le Gabon, du volume des projets socio-économiques nationaux déjà programmés et financés par des partenaires extérieurs. Sans oublier les grandes rencontres et manifestations internationales qu’abrite de plus en plus le Gabon ainsi que l’aura diplomatique dont jouit davantage notre pays actuellement.

Ensuite, abordant la question liée à l’organisation incongrue d’une autre et hypothétique conférence nationale souveraine au Gabon, et cela du fait d’une imaginaire crise politico-sociale que connaîtrait le pays, le Porteparole de la présidence de la République s’est déclaré estomaqué par l’idée d’une démarche intellectuelle aussi passéiste que saugrenue.

D’autant plus que le Gabon a déjà connu, en 199O, l’expérience d’une conférence nationale. Laquelle, selon M. Bilié By Nzé, « s’est positivement soldée par une situation gabonaise où désormais, la démocratie plurielle est patente, les institutions républicaines fonctionnent harmonieusement et sont renouvelées régulièrement, le code électoral a été révisé et inclus même l’usage des techniques biométriques ainsi que les libertés fondamentales d’expression, de la presse et de déplacement tant à l’intérieur que pour l’extérieur du territoire national sont vécues quotidiennement. »

Des libertés dont jouissent d’ailleurs allègrement les opposants dont certains, du reste, viennent d’essuyer un cinglant et ridicule revers politique dans la capitale française.

Par ailleurs et concernant les élucubrations faites par certaines associations étrangères telles que Survie et Sherpa, relayées par leurs suppôts gabonais, M. Bilié By Nzé considère ces insidieuses insinuations comme des épiphénomènes.

Dans la mesure où, estime- t-il, « ne disposant d’aucun mandat électif des Gabonais, les leaders desdites associations étrangères et ceux de l’UN ne peuvent donc nullement se prévaloir d’un quelconque droit de parler au nom des populations de notre pays. »

Au demeurant, précise-t-il, « les animateurs de Survie et Sherpa devraient avoir au moins l’honnêteté intellectuelle de se souvenir du calvaire subi par leurs alliés gabonais de l’époque où, comme par hasard, un certain M. André Mba Obame était tout puissant ministre de l’Intérieur et de Sécurité publique. »

A l’évidence, comme les leaders de ces associations françaises peuvent donc avoir la mémoire courte, pour curieusement composer avec les anciens tortionnaires de leurs alliés.

Enfin, réagissant face à l’échec programmé d’une certaine pétition faite par le « grand de ce monde », M. Marc Ona Essangui, le Porte-parole de la présidence de la République a estimé qu’il ne pouvait en être autrement.

Du fait que cette pétition constituait pour lui, « un non-événement, puisque placée sous le sceau du monde virtuel et non de celui du monde réel. »

Car, comment comprendre que, pour combattre la mise en oeuvre du projet d’hévéaculture que compte réaliser la société Olam dans le département du Haut- Ntem (Minvoul), M. Ona Essangui puisse recourir au lancement d’une pétition et cela, par voie d’Internet.

Résultat: sur les 10 000 signatures requises et espérées par l’initiateur de cette ineptie, les signataires ne sont encore qu’au nombre de 138 parmi lesquels, on compte 137 étrangers et un seul Gabonais qui n’est tout autre que M. Ona Essangui luimême.

C’est dire qu’une telle déconvenue ne pouvait être que prévisible et inéluctable, pour d’évidentes raisons.

Primo, mise sur Internet, cette pétition ne pouvait nullement prospérer ; et ce, du fait que les populations minvouloises concernées n’ont pas encore accès à cet outil de haute technologie.

Secundo: en ce moment Olam est sur le terrain pour expliquer, sensibiliser, mobiliser et convaincre les populations du Ntem (Bitam) et du Haut-Ntem (Minvoul) sur les énormes dividendes socio-économiques ainsi que les 7000 emplois tant directs qu’indirects que ces Gabonais vont engranger à travers la réalisation de ce vaste projet de développement.

Pendant ce temps, M. Marc Ona Essangui apparaît comme un anonyme individu qui se vautre allègrement, à Libreville, dans les salons feutrés des leaders de l’ex-UN.

Tertio et au fait, quel projet alternatif, viable et promoteur propose aujourd’hui M. Ona Essangui aux populations du Ntem et du Haut- Ntem ?

Ce, afin de mieux booster le développement de ces deux départements et de pouvoir contrer efficacement le projet déjà initié et mis en oeuvre par la société Olam. Rien du tout, à ce qui semble jusqu’ici !

A la lumière dons de tout ce qui précède, un constat simple s‘est alors imposé aux yeux du Porteparole de la présidence de la République.

A savoir qu’il s’agit là « des tribulations et élucubrations d’une ridicule caste d’hommes du passé, arc-boutés encore sur des préoccupations passéistes et rêvant de recouvrer, à nouveau et tardivement, leurs statuts et privilèges politico-financiers du passé. » Oh, Dieu d’Abraham !

Qu’est-ceq ue des gérontocrates et autres personnages, disqualifiés par le temps et pour le pouvoir étatique, peuvent ne pas comprendre le sens de la maxime qui veut que: « Il y a un temps pour tout et tout a aussi un temps limité dans la vie de chacun ».

Sacrés bonhommes que sont les André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyéghé Ndong, Marc Ona Essangui et consorts ! 

 

19/07/2012

Gabon-Turquie: DISCOURS DU PRÉSIDENT ALI BONGO ONDIMBA, AU FORUM DU COMMERCE ET DE L’INVESTISSEMENT

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Istanbul - 19 Juillet 2012

 

Mesdames, Messieurs,

Distingués acteurs de l’économie de la République sœur et amie de Turquie,

ASSALAMOU ALEYKOUM (Que la Paix soit avec vous !)

Comme vous avez pu vous en rendre compte, le Président Abdullah Gûl et moi-même avons la ferme détermination de hisser notre coopération économique au niveau de la qualité de nos liens politiques et stratégiques.

Alors, je me veux aujourd’hui à la fois concret, offensif pour ne pas dire provocateur.

Les Gabonais veulent percevoir des débuts d’exécution, des réalisations et des résultats de notre coopération qui traduisent nos accords diplomatiques en projets économiques significatifs.

Etant donné ma ferme volonté, traduite en actions, de diversifier la coopération au mieux des intérêts du Gabon et notre stratégie d’attraction d’investisseurs de pays émergents, notamment du Sud Est Asiatique, vous comprendrez que je ne puisse laisser la Turquie, ses opérateurs économiques, ses investisseurs en marge de ce processus fondamental.

 

Mesdames, Messieurs

Pour aller droit au but, je veux vous faire venir en force investir avec nous au Gabon dans les multiples secteurs d’un pays aux potentialités établies.

Y a-t-il des obstacles qui vous font hésiter face à tant d’opportunités ? Que nous faut-il il faire pour que vous veniez ? Qu’attendez-vous de moi, de mon gouvernement, de mes collaborateurs en sus de la constante amélioration de l’environnement des affaires dans notre pays ?

Nous avons entamé de nombreuses réformes touchant la facilitation de la création d’entreprises avec des procédures allégées et accélérées, l’accès aux titres fonciers, une meilleure allocation des terres ainsi qu’une adaptation de notre fiscalité pour la rendre de plus en plus incitative.

Des structures, mécanismes et outils de suivi se mettent en place et toutes ces réformes permettent aujourd’hui au Gabon, d’attirer des niveaux d’investissements directs étrangers significatifs, orientés principalement vers l’industrie de transformation du bois, l’agro-industrie et la pétrochimie.

Mais l’éventail des opportunités et des secteurs est bien plus large dans notre contexte actuel et futur.

Pour rattraper le déficit en infrastructures d’appui, notre pays a accru de manière décisive son budget d’investissement.

Ces efforts ont permis d’atteindre en 2011 :

- Un taux de croissance de plus de 6%

- Une amélioration de la notation souveraine du Gabon qui passe de BB – (moins) à BB

- Un taux d’endettement contenu à 17% du PIB

Le Gabon ne dormira pas sur ses lauriers mais compte consolider ses acquis, par la poursuite de son programme de développement économique et social dont le volet infrastructures est un fondement clé.

C’est pourquoi un Plan National de Développement des Infrastructures a été mis en place pour la période 2012-2016.

Les routes, ports et aéroports, les chemins de fer, les réalisations sociales entre autres, y occupent une place centrale et sont des domaines où des partenariats féconds peuvent être noués et développés.

Nous avons créé un Fonds Souverain à même d’assurer nos intérêts et de prendre sa part de risques et d’opportunités aux côtés des investisseurs attirés par notre pays.

 

Mesdames, Messieurs

Permettez-moi d’envisager quelques pistes de concrétisation de notre volonté commune d’aller ensemble de l’avant la main dans la main.

Le Gabon peut être un hub stratégique très intéressant pour la Turquie en lui permettant d’accéder à divers marchés africains.

Votre fort développement des industries lourdes (métallurgie, aéronautique, hydrocarbures, bois, armement pêche...) s’intègre à perfection aux objectifs du Gabon Industriel. Il en est de même de votre potentiel agricole en ce qui concerne le Gabon Vert.

Dans le domaine social, vous avez certainement une réelle opportunité de venir combler avec nous le déficit de construction de logements sociaux qui se chiffre aujourd’hui à 200 000 unités.

Et pourquoi pas l’adaptation de votre expérience en matière de structures médicales et hospitalières privées, dans l’optique de création d’unités d’excellence et d’urgence plus proches de la clientèle tant locale que régionale ?

Nous avons tout à gagner dans une coopération aboutissant à la réalisation d’infrastructures, à la formation, aux échanges renforcés et au développement de projets d’intérêt commun.

Ma délégation se tient à votre disposition pour poursuivre discussions et contacts, entre vous pour aboutir à des projets concrets suivies d’exécution et d’effets structurants.

Je vous y invite en vous assurant de ma détermination à vous accompagner durablement pour que nous ayons tous un jour raison d’avoir enfin commencé et osé.

Merci de m’avoir écouté et de répondre, nombreux, à l’appel des opportunités d’un pays prometteur et d’avenir.

 

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Gabon-Turquie: Forum du Commerce et de l’investissement

 

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Istanbul19 Juillet 2012 : Poursuivant sa visite officielle en Turquie, le Président Ali Bongo Ondimba a présidé ce jour à Istanbul, en présence de sa délégation, une grande rencontre avec les patrons et représentants des entreprises turques les plus performantes.

Organisée par TUSKON, la Confédération des hommes d'affaires et industriels turcs ( 7 fédérations : 172 associations et plus de 32 000 membres ), les échanges ont réuni des chefs d’entreprises et investisseurs leaders dans leurs domaines aussi divers que les mines, l’énergie, la pétrochimie, le gaz, là construction d’infrastructures et de logements, l’immobilier, les produits finis, les transports, les télécommunications, l’agroalimentaire, le tourisme, la banque et les finances, les média et la communication.

Les entreprises et investisseurs présents qui se sont tous exprimés ont dit leur intérêt pour le Gabon en raison de ses multiples atouts et pris l’engagement de s’y rendre très vite pour mieux appréhender ou concrétiser les opportunités identifiées dans divers secteurs..

Le Président Ali Bongo Ondimba a su trouver les mots et le ton juste pour s’adresser à ses hôtes, et les convaincre grâce à des informations fournies à la source et étayées par le Ministre de la Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l’Habitat, du Tourisme, Chargé de l’Aménagement du Territoire, Magloire Ngambia, le Président de la Chambre de Commerce Jean Baptiste Bikalou et son vice Président Alain Claude Kouakoua, le Directeur Général de l’Agence Nationale des Grands Travaux, Henri Ohayon, le Directeur Général du Fonds Gabonais d’Investissement Souverain , Serge Mickoto.

Dans son propos liminaire, le Chef de l’Etat a interpellé ses interlocuteurs en ces termes : « Comme vous avez pu vous en rendre compte, le Président Abdullah Gûl et moi-même avons la ferme détermination de hisser notre coopération économique au niveau de la qualité de nos liens politiques et stratégiques. Alors, je me veux aujourd’hui à la fois concret, offensif pour ne pas dire provocateur. Les Gabonais veulent perçoir des débuts d’exécution, des réalisations et des résultats de notre coopération qui traduisent nos accords diplomatiques en projets économiques significatifs. Etant donné ma ferme volonté, traduite en actions, de diversifier la coopération au mieux des intérêts du Gabon et notre stratégie d’attraction d’investisseurs de pays émergents, notamment du Sud Est Asiatique, vous comprendrez que je ne puisse laisser la Turquie, ses opérateurs économiques, ses investisseurs en marge de ce processus fondamental ».

L’appel aura été entendu notamment par tout un groupe d’entreprises de tous secteurs, notamment de la construction de logements sociaux, du transport (Turkish Airlines) et d’holdings de premier plan.

Suite à cette rencontre, le Président de la République Gabonaise a donné quelques interviews notamment à Bloomberg Tv et à la Radio Turque avant un entretien en tête-à-tête avec le Premier Ministre Turc depuis 2003, Recep Tayyip Erdoğa.

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Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

• le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

• le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

• le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.

 

Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org

 

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Gabon: Abdullah Gûl apporte un soutien ferme au Gabon émergent

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Ankara 18 Juillet 2012 : Abdullah Gûl, Président de Turquie lors de son toast à l’occasion du dîner officiel offert mercredi soir en l’honneur de son « très cher frère et ami Ali Bongo Ondimba » a donné les raisons de l’intensification de la coopération entre les deux pays en présence d’une soixantaine d’hommes d’affaires et investisseurs.

Le Chef de l’Etat Turc a d’abord estimé que « les visites historiques, au plus haut niveau sont des premières dans leur genre qui seront sans doute estimées à leur juste valeur historique comme des tournants dans nos relations ».

Mais plus fondamentalement pour Abdullah Gül le Gabon est considéré « avec sa stabilité politique et économiques, ses beautés naturelles et son niveau élevé de revenu national par habitant, comme étant l’un des pays les plus importants de l’Afrique ».

Etayant son propos il a souligné le fait que le siège de la CEEAC se trouve à Libreville, ce qui « montre clairement la place exceptionnelle qu’occupe le Gabon dans le continent ».

En fin connaisseur du Gabon d’aujourd’hui et de la géopolitique mondiale, le Président Turc a rappelé le mandat du Gabon au Conseil de Sécurité et ses efforts élogieux en matière de préservation de l’environnement.

Dans des termes clairs et nets, l’Hôte du Président Gabonais a réitéré son souhait de « développer les relations bilatérales, dans tous les domaines, avec le Gabon frère dont le leadership éclairé de Son Excellence, s’est lancé dans un élan de développement qui a attiré l’attention de toute sa région et du monde entier …. Je suis persuadé que le projet du Gabon Emergent, initié sous la direction de Son Excellence, va jouer un rôle clé pour renforcer notre coopération, grâce aux opportunités qu’il offre dans toute une série de secteurs, notamment l’énergie, le tourisme et la construction. De ce point de vue, je pense qu’il n’est pas inutile de rappeler que nous sommes prêts à contribuer à la mise en œuvre de votre projet ».

Cet engagement sera certainement entendu et pris en charge ce jeudi 19 juillet lors de la rencontre d’Istanbul avec les investisseurs venus de toute la Turquie.

 

Fin

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18/07/2012

Gabon: Le président Ali Bongo Ondimba entame une visite de trois jours en Turquie

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Le président Ali Bongo Ondimba a entamé, mercredi matin, sa visite officielle de trois jours en Turquie, par une visite au Mausolée de Mustafa Kemal Atatürk, fondateur et premier président de la République turque, mort à Istanbul le 10 novembre 1938.

Après y avoir déposé une gerbe de fleur, le chef de l’Etat s’est rendu au palais Cankava, la présidence turque, où il a reçu un accueil officiel, avant l’entretien en tête-à- tête avec son homologue turc Abdullah Gül.

Elargi par la suite aux délégations officielles des deux pays, l’entretien a été marqué par la signature de nouveaux accords, avant la conférence de presse donnée par le président Ali Bongo Ondimba qui est accompagné, au cours de sa visite en Turque, notamment par MM. Franck Issoze Ngondet et Rufin Pacôme Ondzounga, respectivement ministre des Affaires étrangères, et ministre de la défense nationale.

Le président Ali Bongo Ondimba devait ensuite se rendre à l’usine Toki Construction Area.

Le chef de l’Etat gabonais a quitté Libreville, mardi, pour une visite officielle de 72 heures en Turquie, destinée à consolider les relations entre Libreville et Ankara dans les domaines économique et commercial, plus d’un an après le lancement du partenariat turco-gabonais, conclu lors de la visite effectuée à Libreville en mars 2001 par le président Turc Abdullah Gül.

A cette occasion, la coopération politique, économique et commerciale avait été renforcée par la signature, le 25 marts 2012, de cinq accords portant essentiellement sur la suppression des visas pour les détenteurs des passeports diplomatiques, les consultations permanentes entre les ministres des Affaires étrangèes des deux pays, la formation professionnelle et technique au niveau des forces de défense.

Une déclaration d’entente avait été également signée par les ministres des deux pays, ainsi qu’un accord dans le secteur du tourisme. Autant d’accords renforçant le cadre de la coopération établi en 2000 dans les domaines commercial, économique, culturel et technique.

Au cours de la visite en Turquie du président gabonais, les deux pays doivent procéder non seulement à la mise en œuvre des accords singés mais également se pencher sur l’ensemble des autres questions bilatérales évoquées dans le cadre du partenariat lancé dans la capitale gabonaise, il y a plus d’un an.

Les opérateurs turcs avaient souhaité s’installer et investir dans différents secteurs au Gabon, un pays doté d’un riche potentiel.

Jeudi, le président Ali Bongo s’entretiendra à Istanbul avec le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoğan et des hommes d’affaires turcs, sur les nouvelles opportunités d’investissement au Gabon.

Le ministre gabonais de la Promotion des investissements, Magloire Ngambia, et le président de la Chambre de commerce et d’industrie, Jean Baptiste Bikalou, prendront part à cet entretien, destiné à poser les nouveaux jalons de la coopération économique entre les deux pays.

A Istanbul, doit se tenir également un forum économique turco-gabonais à l’instar de celui organisé à la Cité de la démocratie à Libreville, le 25 mars 2011, au cours duquel les hommes d’affaires turcs, déjà très impliqués dans plusieurs projets sur le continent africain, avaient exprimé le désir de contribuer au développement économique du Gabon, qui pourrait ainsi profiter du dynamisme de la Turquie, 16ème économie mondiale et 6ème européenne.

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Gabon: Ali Bongo Ondimba dépose une gerbe de fleur au mausolée de Mustafa Kemal Atatürk

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Ankara 18 Juillet 2012 Conformément à la tradition protocolaire, le Président Ali Bongo Ondimba, s’est rendu ce matin à Anikabir pour déposer une gerbe au mausolée de Mustafa Kemal Atatürk, le père fondateur de la Turquie moderne et signer le livre d’honneur.

Accompagnée de sa délégation parmi laquelle les Ministres Emmanuel Issoze Ngondet (Affaires étrangères, de la Coopération Internationale, de la Francophonie chargé du NEPAD et de l'Intégration Régionale) Magloire Ngambia (Promotion des Investissements, des Infrastructures, des Travaux Publique, des Transports, de l’Habitat, du Tourisme, Chargé de l’Aménagement du Territoire) Pacôme Rufin Ondzounga (Défense nationale) ainsi que de proches collaborateurs, le Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba a procédé à l’imposant cérémonial que tout Chef d’Etat étranger, en visite en Turquie, doit observer.

L’étape d’Anikabir, perché sur les hauteurs de la colline d’Anıttepe a été chargée de solennité et d’émotion.

Ce lieu hautement symbolique est à la fois un mausolée et un musée en l’honneur de Mustafa Kemal Atatürk et de la guerre d’indépendance turque qui reçoit plus de 3 millions de visiteurs par an.

Le Chef de l’Etat Gabonais a salué la mémoire de ce dirigeant et réformateur hors pair et fondateur de la République turque moderne.

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Gabon: Méli mélo dans le marigot politique pour 2016 ...

 

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Tous ceux qui observent attentivement la marche du pays depuis les trois dernières années sont à l’unanimité d’accord sur un point : de l’opposition en passant par le PDG, quasiment tous les politiciens, à quelques exceptions près, quand ils ne s’y activent pas en secret pour ralentir ou stopper la progression de l’émergence, souhaitent son échec.

Pour la simple raison que tous ont des trésors de guerre et tiennent un agenda personnel.

Dans certains cercles très fermés, il n’est pas rare d’entendre certains pédégistes gloser que si Mba Obame, malgré la sale réputation qu’il traînait en bandoulière, a pu aisément passer, en moins de deux mois, du club très select des leaders du PDG à celui de l’opposition, tous autant qu’ils sont peuvent naturellement réussir la même pirouette. Surtout que ces derniers jugent, à tors ou raison, les quatre années à venir «propices» à toutes les acrobaties.

Face à toutes ces gesticulations prématurées qui plombent les ailes de l’émergence du pays, Il est important que le chef de l’Etat, note bien que plusieurs compatriotes considérés comme des chauds partisans, s’activent en catimini pour l’empêcher de prendre les bonnes décisions et de poser des actes palpables susceptibles de renforcer son potentiel et son aura à briguer avec succès un second mandat. Ils font tout pour que, comme avec son défunt père, sa volonté à changer les choses et à améliorer les conditions de vie des Gabonais s’enlise.

A cause de ces calculs mesquins, une sorte de paralysie flotte dans l’ensemble du pays, particulièrement depuis la fin de la Can 2012. N’ayant pas réussis à torpiller l’organisation de la Can 2012, ces cyniques s’évertuent depuis la fin de cette compétition à démoraliser les populations, les administrations et les entreprises.

Or un regard lucide permet de mesurer le chemin parcouru en si peu de temps. Les preuves sont visibles pour ceux qui veulent les voir. Le stade d’Angondjé, les nouvelles rues bitumées de Libreville, les mesures prises en faveur des étudiants, des demandeurs d’emplois publics ou privés, l’assainissement des mœurs et des habitudes à tous les niveaux, la bonne gouvernance, la lutte contre la corruption et l’enrichissement illicite, l’actuel bonne image du Gabon, l’amélioration du taux de croissance et de la cotation du Gabon dans les places financières, l’attraction de la destination Gabon, pour ne citer que ces quelques exemples.

S’agissant notamment des rues de Libreville, qui n’a pas remarqué le rajeunissement des rues de certains quartiers laissés à l’abandon depuis des décennies ?

Curieusement, malgré ce bilan élogieux en si peu de temps qui a profondément et positivement changé la perception de plusieurs compatriotes, il se trouve bizarrement des gens qui cultivent quand même chez les populations le doute et la déception pour la politique de l’émergence.

Depuis le déploiement de cet activisme dont l’UOB constitue les prémices, c’est l’attentisme quand ce n’est pas, purement et simplement, l’engorgement. D’aucuns notent que cette obstruction de ceux censés soutenir le Président Ali passe par la ventilation et la suggestion subliminale au sein de la population de fausses nouvelles et de ragots de tous genres pour décourager tous ceux qui veulent booster la politique du chef de l’Etat.

A l’observation, on en vient à penser, à l’exception du premier carré des fidèles collaborateurs, que le chef de l’Etat est un homme seul et incompris. Un homme trop à l’avance par rapport à ses concitoyens et surtout par rapport aux leviers normaux de son pouvoir à travers lesquels il peut acter que sont : le gouvernement et l’administration centrale.

Pour certains de ses proches, ça ne peut pas continuer ainsi, il est temps de siffler la fin de la récréation et séparer le bon grain de l’ivraie.

De l’autre côté, certains prophètes se proclamant faiseurs des rois, ne facilitent pas la tache aux gens de bonnes volontés qui veulent faire bouger les lignes à défaut de faire bouger les choses. Ces derniers convaincus que leur heure de gloire va bientôt sonner, ne cachent plus leurs ambitions politiques et tissent, en catimini, leur toile.

Un regard attentif permet de noter que dans chaque localité, ces derniers disposent déjà de solides affidés. Il nous revient que dans l’Estuaire, certains seraient député ou ministre. Dans le Moyen-Ogooué, des connections seraient tissées entre certains nostalgiques dans le secret de certaines obédiences.

Dans le Woleu Ntem, la membrane séparant les partisans de l’opposition et ceux de la majorité est tellement mince qu’entre ces derniers, c’est bonnet blanc, blanc bonnet.

Dans la Ngounié, certains élus ne cachent même leurs ambitions. N’hésitant pas à se transformer au vu et au su de tout le monde comme satellite de ces prophètes pour solidifier l’édifice en projet et recruter de nouveaux sympathisants. La liste est loin d’être exhaustive.

N’empêche qu’il est important de souligner d’ores et déjà que dans la perspective de l’élection présidentielle de 2016, certains pédégistes, se considérant comme de malins génies, tapis au sein du PDG, ne cessent de faire de vicieux calculs, aux desseins inavoués.

Pour les partisans d’Ali Bongo Ondimba, l’émergence c’est maintenant ! Il est donc grand temps de paralyser toutes cette canaille, tapis au sein du gouvernement, dans certaines institutions et dans certaines administrations publiques ou privées, qui échafaude des plans sur la comète en ayant un agenda différent à celui du président.

 

Source : INFOSGABON

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17/07/2012

Gabon: Ali Bongo Ondimba en Turquie , la diversification en bonne marche

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Ankara 17 Juillet 2012 : Ali Bongo Ondimba, Président de la République Gabonaise, est attendu ce mardi soir dans la capitale Ankara pour une visite officielle. Il se rendra ensuite à Istanbul, la principale métropole de la Turquie.

Dès le début de son mandat, la volonté du Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba de diversifier la coopération, au mieux des intérêts du Gabon, s’est exprimée sans équivoque. Elle s’est traduite par une diplomatie active, tournée vers la consolidation des acquis traditionnels et l’attraction d’investisseurs de pays émergents, notamment du sud-est asiatique.

Le Président Ali Bongo Ondimba a effectué, au cours de la première année de son mandat, un certain nombre de déplacements ciblés et stratégiques dont les résultats sont de plus en plus visibles.

Cette visite intervient après celle des 24 et 25 mars 2011 du Président Turc Abdullah Gül. Elle revêt une portée significative du fait de la volonté réciproque de consolider l’axe Libreville – Ankara.

Le caractère bi-continental de la Turquie, qui se trouve à la croisée de l’Europe et de l’Asie occidentale, et la position stratégique du Gabon au cœur de l’Afrique dans le Golfe de Guinée sont des atouts réels en faveur d’une coopération accrue et dynamique, mutuellement bénéfique.

Grande héritière de l'Empire Ottoman, la Turquie a des frontières communes avec huit pays : la Grèce et la Bulgarie au nord-ouest, la Géorgie, l'Arménie et l'enclave azerbaïdjanaise du Nakhitchevan au nord-est, l'Iran à l'est, l'Irak et la Syrie au sud.

Fondée par Mustafa Kemal Atatürk en 1923 dont le nom est associé à de nombreux édifices, avenues et autres lieux symboliques, c'est une république démocratique et laïque.

La Turquie est un État membre des Nations Unies, de l'OTAN, de l'OSCE, de l'OCDE, du Conseil de l’Europe. Elle participe également aux activités de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI).

 

Le Gabon Emergent

Depuis l’élection du Président Ali Bongo Ondimba en septembre 2009, le Gabon est entré dans une ère de changement grâce à une ambitieuse politique de réformes. Longtemps dépendant de ses exportations de matières premières, le Gabon est aujourd’hui déterminé à diversifier son économie et devenir un pays émergent à l’horizon 2025 grâce à une stratégie de développement durable baptisée Gabon Emergent. Cette stratégie repose sur trois piliers :

· le Gabon Vert pour valoriser durablement le formidable écosystème gabonais - 22 millions d’hectares de forêt, 1 million d’hectares de terres agricoles exploitables, 13 parcs nationaux, 800 kilomètres de littoral maritime – à travers l’industrie du bois, l’agriculture et l’écotourisme ;

· le Gabon Industriel pour promouvoir la valorisation locale des matières premières, l'exportation de produits à forte valeur ajoutée et la diversification de l’économie nationale ;

· le Gabon des Services pour valoriser les ressources humaines gabonaises avec l’objectif de devenir une référence régionale dans les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de l’économie verte, de l’enseignement supérieur et de la santé.

Concrétisation de la politique de réformes et d’ouverture du pays, le Gabon a attiré plus de quatre milliards de dollars d’investissements directs étrangers en 2010 dans le cadre de la signature de contrats avec des entreprises américaines, asiatiques et européennes.


Pour plus d’information, merci de visiter www.presidentalibongo.com ou contacter www.cocom.rggov.org

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Gabon: visite officielle de S.E. Ali Bongo Ondimba en Turquie

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Ankara 17 Juillet 2012 : Le Président Ali Bongo Ondimba est attendu cette semaine à Ankara et Istanbul, seize mois après la visite officielle des 24 et 25 mars 2011, à Libreville de son homologue turc, le Président Abdukkah Gül.

Le drapeau gabonais flotte, à côté du drapeau turc le long de l’avenue qui conduit à l’aéroport internationale Esenboga d’Ankara, annonçant l’arrivée imminente le 18 Juillet d’un hôte de marque, Chef d’un Etat dont le Président turc disait, lors de la conférence de presse conjointe du 25 mars 2011:

« Le Gabon est un des pays d'Afrique qui possède le plus important potentiel économique, ainsi qu'un leadership fort grâce au Président Ali Bongo Ondimba. Les accords signés ensemble, aujourd'hui, résultent de notre volonté politique de créer des partenariats gagnant-gagnants entre nos deux pays ».

Cette appréciation fixe le contexte de cette visite officielle. Il s’agira avant tout de renforcer les liens qui existent déjà entre les deux pays et de donner de la substance aux sept conventions signées le 25 mars entre les deux chefs d’Etat portant sur la coopération touristique, les consultations diplomatiques, la non-double imposition et l’évasion fiscale, la promotion et la protection réciproque des investissements, l’exemption des visas pour les détenteurs de passeports diplomatiques, la défense et la santé.

Il s’agira aussi de faire le point sur des projets de collaboration maritime, de libre échange, de coopération dans l’agriculture et dans le transport aérien et d’explorer tous les autres domaines d’intérêt commun. .

Tout comme à Libreville où un forum économique Gabon-Turquie fut organisé par les Ministères de l’économie et des Affaires étrangères conjointement avec la Chambre de Commerce et d’Industrie, cette fois-ci le Chef de l’Etat en personne s’adressera à Istanbul, aux investisseurs sur les opportunités d’investissements au Gabon et de renforcer les nouveaux partenariats potentiels.

 

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Gabon: Réaction officielle suite à l'élection du nouveau Président de l'UA

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16/07/2012

Gabon: Marc Ona Essangui LE POLITICIEN DE PACOTILLE

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Respecté il y a encore 20 ans , il est devenu le clown , le comique et provoque l'hilarité bruyante de tout un pays depuis 3 ans ...

Il a eu le Prix Goldman à cause de son activisme environnementaliste. Il a toujours juré ne pas faire la politique et ne s’adonner qu’à la sauvegarde de la nature. Tout au plus admettait-il d’être de la Société civile. Evidemment, de la « Société civile véritable », celle qui partage les mêmes valeurs que la communauté.

Aujourd’hui, tout ça appartient désormais au passé. D’ailleurs, l’environnement et la « Société civile », ce n’était que du baratin pour obtenir les subventions de l’extérieur.

Car Marc Ona a toujours mené un « combat ». Un « combat » naturellement politique et contre un « système » politique. Ce n’est pas « La Griffe », encore moins la « presse de Cotonou », qui le dit.

C’est une révélation qui vient d’être faite par un certain :

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Bref, Myboto, Eyeghe Ndong, Mba Obame et Cie sont de bons compagnons de « combat ». Mais le grand combattant ne dit ce qu’il fera d’eux à la fin du « combat ». Il les nomme au gouvernement ou il les envoie à « Sans famille » ?

 

Marc rentre bredouille

Finalement, on comprend pourquoi Marc Ona est devenu si violent et a visiblement perdu son légendaire sens de l’humour. Il se trouve que le « Grand de ce monde » vient d’ajouter une perle à sa belle collection d’échecs.

Pour ne pas remuer le couteau dans la plaie, on ne va pas rappeler ceux de la CAN, dont Marc ne voulait pas au point d’avoir reconnu que son « coeur ne battait que pour Bata » ; des législatives, que sa caravane n’a pas pu arrêter ; de la visite de Zeus à Paris, qu’il a vécu comme un deuil.

On va se limiter à rappeler que pour faire barrage à OLAM à Bitam, Ona Essangui avait lancé sur la toile, il y a un mois, cette vaste pétition :

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Un mois plus tard, nous sommes allés faire un petit tour sur le site qui héberge cette pétition. Et voici ce que nous avons trouvé :

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Sur les 10.000 signatures attendues, Marc n’a pu récolter que 134. Et le plus marrant, c’est que le pauvre n’a pas, en dehors de lui-même, reçu une seule signature de son propre village, de Bitam, du Woleu-Ntem, du Gabon ou même d’Afrique.

C’est dire si ses amis de l’ « opposition véritable », de la « société civile véritable » et de la « presse véritable » sont vraiment à ses côtés et approuvent sa démarche.

Ne parlons même pas du député pédézozo Bertrand Nzibi qui préfère apparemment faire le tour du monde plutôt que d’aller signer une pétition aussi vitale, concernant un projet qui, s’il voit le jour, peut l’amener à renoncer à son mandat.

Pour la petite histoire, il faudra retenir que les 133 signatures sont venues de France et de la part d’activistes qui n’ont même jamais mis les pieds en Afrique et ne peuvent même pas situer Bitam sur la carte du Gabon.

Dommage qu’il n’existe pas un Prix Goldman pour les fiascos…

 

Source: LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012 

 

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Gabon: L'ORDURE Petit Lambert OVONO HUMILIÉ PAR SES CHEFS DE GANG Jean EYEGHE NDONG ET Zacharie MYBOTO à Paris!

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L’évènement s’est passé lors du dernier voyage des deux ex barons du PDG à Paris, venus en renfort pour tenter en vain de saboter la visite du Chef de l'Etat Ali Bongo Ondimba.

En effet, Ovono Petit Lambert ,reconnu à la fois comme larbin et valet de service, nouveau majordome et barbouze de Mba Obame André qui n’hésite parfois pas (au regard de certaines indiscrétions), à lui faire laver la vaisselle à son domicile de Neuilly, a été réquisitionné pour mettre à exécution le plan de ses nouveaux "Patrons".

Ancien ambianceur et bougeur de fesses dans les années 70, Ovono Petit Lambert qui aurait plusieurs fois refait sa classe et serait autant de fois passé en classe supérieure que par ancienneté, n’a jamais été rétribué à la sueur de son front, mais au prorata de ses débilités mentales, de sa capacité à mentir en confiance, le tout sur financement d’argent public volé aux gabonais par ses nouveaux maîtres à penser, du temps où ces derniers régnaient en maître sur la République.

Aujourd’hui, son appartenance dite à l’opposition cache en réalité une frustration personnelle, notamment du fait que le Président Ali BONGO ONDIMBA ait décidé de mettre fin à son train de vie somptueux qui lui permettait de s'offrir de nombreux luxes en lui coupant les vivres pour abandon de poste, alors même qu'il continuait de percevoir en toute sinécure, un salaire mirobolant de Conseiller à la Présidence avec résidence en France et tenez vous bien, payé par l'argent du contribuable gabonais.C'est à la suite de l'audit de la fonction publique qu'avait lancé le Chef de l'Etat dès sa prise de fonction,que la supercherie sera mise à nue.

L' appartenance de petit lambert à l'opposition n'est donc qu'une manière de crier famine en espérant qu'un jour ses "texto du jour" trouveront un échos favorable au Palais du bord de mer. Aujourd'hui, l'homme vit au jour le jour, n'hésitant plus à se rabaisser au point où il y a quelques semaines, il n'hésita pas à solliciter trois jeunes étudiants gabonais résidant à Clamar afin que ces dernier le dépanne de quelques kilos de riz, de croupion ou de dindon.

Ayant obetenu d'AMO la promesse d’un poste nominatif au cas où celui-ci accédait aux fonctions de Président de la République( on ne sait toujours par quel moyen d'ailleurs), ou de quelques espèces sonnantes et trébuchantes, comme les 35000 euros que lui avait remis en cash son nouveau mentor Mba Obame dans le seul but de saboter le séjour du Chef de l’Etat à Paris, Ovono petit lambert ne vit plus désormais que dans l'espoir "désespéré" de faire retentir sa cause au Palais du Bord de mer.

Homme sans idéologie, champion de la rumeur et spécialiste de la manipulation écrite, ainsi que dans l’abus, le recel des biens sociaux et d'argent sale, Ovono Petit Lambert n’hésite plus à organiser des croisades (où il est le seul prédicateur et son propre public) à la recherche désespérée de jeunes étudiants Gabonais vulnérables à qui il promet en cas de soutien à Mba Obame, monts et merveilles.

Le récent passage d’Eyeghe Ndong et Zacharie Myboto dans son pays de galère était une énième occasion rêvée pour Ovono Petit Lambert, futur retraité agé officiellement de 56 ans, mais un peu plus selon ses artères, de soutirer un peu de sous aux deux vieux mousquetaires de l’ex Union Nationale qui n’hésitent pas à lui faire des promesses démagogiques et de temps en temps une petite enveloppe.

Cependant la condition qui fut posée au Petit nain Ovono, était de mettre à exécution le sabotage du voyage du Président Ali Bongo Ondimba à Paris. Fort des 35000 euros de récompense qui lui avait été remis par AMO, Ovono était persuadé d'avoir la situation en main au point de se pavaner dans les bistrots du quartier Château Rouge à Paris, avec le sourire jusqu’au dos.

C’est ce scénario bien huilé qui vient de connaitre un sérieux couac et pour cause : alors que Mba Obame avait mis la main à la poche trois semaines auparavant, pour saboter le voyage du Président Ali Bongo Ondimba, ce dernier a été surpris de voir la verve incandescente d’enthousiasme qui s’est manifestée avec la présence d’environ 200 à 250 membres de la communauté gabonaise de France dans une ambiance de fête au Bourget. Une réussite totale !!

De plus, durant ce bref séjour du Chef de l'Etat,Ovono Petit Lambert a introduit une demande d’audience à l'hôtel Georges V dont l’objet était : « Demande d’aide financière (nous vous scannerons la demande très bientôt) », auprès du Chef de l’Etat Ali Bongo Ondimba. Bien évidemment la demande lui a été gentiment refusée.

Et pour solde de tout compte, Eyeghe Ndong et Myboto n’aurait laissé à ce petit gueux revêtu de Clamar, en tout et pour tout qu’une somme de 3 000 euros puisque n’ayant même pas réussi à mobiliser sa propre personne devant le palais de l’Elysée le 5 Juillet, jour de l’audience des deux Chefs d’Etat français et gabonais, comme le lui avaient demandé ses nouveaux employeurs.

Conséquence, les langues commencent à se délier pour reconnaitre qu’après les 35000 euros de Mba Obame, Petit Lambert ne vit désormais qu’au dépend de son ses incantations contre l'émergence du Gabon, de ses grosses blagues du jour et sa mythomanie devenue en réalité sa maladie. A Clamar où ce dernier réside en France, ses voisins n’arriveraient d’ailleurs plus à le supporter… Jusqu’où ira l’équato guinéen de Clamar ? A vous, Gabonais, de le décider.


Auteur : La Jeune Garde


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GABON: DESCENTE AUX ENFERS D'UNE POMPOM GIRL DEVENU MENDIANTE

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On se doutait bien qu’elle n’allait pas rester longtemps sans reprendre du service et s’adonner à la seule activité qui la passionne réellement : aligner les plaintes contre votre satimédia.

Plus qu’une passion, le genre est devenu carrément une obsession pour Paulette Oyane.

Cette fois-ci, ne sachant plus trop de quoi nous accuser, elle a tranquillement sorti sa collection de « La Griffe » pour rechercher, à la loupe, le moindre article la concernant.

C’est ainsi qu’elle a cru avoir déniché, dans notre édition du 30 mars 2012, de quoi nous envoyer à la potence. D’où cette poursuite, encore une, contre votre satimédia.

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500 millions de dôlès qu’elle nous réclame pour l’avoir injustement importunée. Car, en refusant la voie de la diffamation, elle reconnaît de fait l’exactitude de nos informations.

Mais elle trouve que nous n’avions pas à écrire ces vérités parce qu’elles portent atteinte à ce qu’elle appelle « son droit au travail ».

Sans rire, elle affirme que l’article incriminé lui a « causé » un « préjudice professionnel ». Des arguments de choc qui, au-delà de l’hilarité qu’ils peuvent susciter, devront être matériellement soutenus à la barre.

Ce jour-là, elle devra venir nous faire la démonstration que le barreau s’est saisi de cet article pour la virer.

Ou nous dire le nombre de clients qui l’ont quitté ou qui ont refusé de la prendre pour avocate, du fait d’avoir lu ces vérités.

Ainsi nous saurons s’il se trouve un seul magistrat qui, au regard de ce dossier, est capable de condamner un journaliste, qui n’a fait qu’écrire la vérité, à verser à dame Oyane 500 millions de dôlès.

Inscrire la vérité comme crime, dans le Code pénal, il fallait vraiment y penser. Exceptionnelle notre Paulette !

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Source : LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012

 

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GABON: LA QUADRUPLE HUMILIATION DES VAUTOURS « vrais opposants sic ! »

 

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A l’évidence, « il y a véritablement des individus nés avant la honte », affirme un adage. Au regard de la quadruple humiliation que vient de subir à Paris, le malheureux carré de Gabonais se prévalant d’être de « vrais opposants » et « grands de ce monde ».

Il s’agit en l’occurrence des inénarrables André Mba Obame, Zacharie Myboto, Jean Eyeghé Ndong, Marc Ona Essangui et compagnie qui, s’étant rués à Paris pour tenter vainement de « boycotter le récent séjour parisien du président Ali Bongo Ondimba », se retrouvent actuellement meurtris par la pitoyable tournure prise par leurs propres calculs machiavéliques.

On note d’abord le cuisant échec que ces « vrais opposants » et « grands de ce monde » ont subi dans l’organisation foirée d’une tentative de mobilisation des Gabonais de France.

Lesquels devaient « marcher sur les boulevards parisiens et envahir l’entrée de l’Elysée, pour vilipender la supposée imposture du pouvoir d’Ali Bongo Ondimba et la dictature que celui-ci aurait instaurée au Gabon. »

Résultat de ladite mobilisation : vingt-huit personnes au rendez-vous, dont quelques désoeuvrés français et certains ressortissants africains en mal d’exercices physiques.

Ce qui a donc mis à découvert le patent déficit de crédibilité de l’opposition gabonaise auprès des Gabonais de l’Hexagone que des populations françaises qui, en cette période de crise économico-financière, ont d’autres chats à fouetter.

Estimant qu’ils ne pouvaient rester sur un tel échec des troupes n’existant nullement, AMO et ses acolytes ont alors trouvé l’idée saugrenue d’organiser un conclave destiné à produire un document déclinant les voies propices à une sortie de la supposée crise politique, économique et sociale qui prévaudrait au Gabon.

Et c’est confuses que les autorités françaises découvriront dans ledit document que, loin d’être des hommes politiques dignes et guidés par le devenir de leur pays, les « vrais opposants » et « grands de ce monde » gabonais n’étaient animés que par de « mesquines et mercantiles envies de partage de pouvoir et de juteux postes de responsabilités avec l’actuel régime d’Ali Bongo Ondimba. »

Rien que ça, et ça s’arroge le droit de s’appeler « vraie opposition soucieuse du bien-être des Gabonais ». On aura donc tout vu et entendu d’une certaine classe politique gabonaise!

Par ailleurs, et comme se croyant en pays conquis, les « vrais opposants » gabonais et leurs suppôts d’une certaine société civile ont même osé se mettre en tête qu’ils pouvaient intimer au président français, François Hollande, l’ordre de ne pas recevoir son homologue Ali Bongo Ondimba.

A défaut, pour le nouveau chef de l’Etat français, de s’entretenir avec eux, avant de rencontrer le n° 1 gabonais. Là encore, échec et mat pour nos « vrais opposants ».

Car non seulement François Hollande a reçu le président Ali Bongo Ondimba, mais les deux hommes d’Etat ont même coprésidé une importante séance de travail qui réunissait leurs principaux collaborateurs respectifs. Pendant ce temps, les « vrais opposants » gabonais étaient dirigés vers un modique bureau où ils se morfondaient d’être reçus par un obscur conseiller à l’Elysée.

Enfin, il y a la virulente volée de bois vert dont bien des camarades de l’opposition gabonaise n’ont pas manqué de foudroyer Mba Obame et ses affidés.

Une volée de bois vert assortie de quolibets, d’insultes voilées et de bien d’autres récriminations dont les plus acerbes ont été l’oeuvre de Daniel Mengara du BDP et d’un certain internaute Dworaczek Bendome.

Voilà la quadruple humiliation encaissée par les « vrais opposants» gabonais. Eux qui ont cru bon d’aller se mettre en scène dans la capitale française.

Curieuse descente aux enfers pour des personnes qui, pour avoir été longtemps aux affaires et se prévalant pourtant d’être des «professionnels » de la politique, ont fini par faire dans l’amateurisme.

Et de s’avérer ainsi ridicules auprès de l’opinion publique tant française que gabonaise.


Source : LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012


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GABON : APRES L’ÉCHEC DE PARIS LE GANG DE L'OPPOSITION MANIOC AU GOUVERNEMENT ???

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Le fait d’avoir été reçu à l’Elysée par un conseiller stagiaire de François Hollande a visiblement conduit l’« opposition véritable » à revoir ses ambitions à la baisse.

Et de comprendre qu’ils n’ont pas un autre choix que celui de négocier leur entrée au gouvernement. C’est du reste le conseil que leur a donné ce conseiller…

On s’attendait à la bataille de la biométrie, c’est finalement une autre que nous propose notre « opposition véritable ».

Pour la bande à AMO, la transparence ce n’est pas maintenant. En tout cas, à l’ex- UN, les élections, ce n’est plus leur pétard.

Ils ont autre de chose de plus importante à faire. Et ce quelque chose dont il question les concerne directement puisque touchant l’organe le plus sensible de leur corps : l’estomac.

A Paris, la question a été clairement réglée. La « précarité des populations », les routes, les hôpitaux, l’école et les coupures d’électricité, c’est le problème de Zeus et des populations elles mêmes.

Eux ont d’autres chats à fouetter. Car, à leur entendement, le Gabon ne peut « sortir de la crise » qu’en tenant une Conférence nationale souveraine qui permettra aux hommes politiques de se taper de gros honoraires.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si l’on procède - mais sur la base de quelle loi ? - à la « dissolution de l’Assemblée nationale ».

Une bonne chose pour hurler à l’illégalité du gouvernement et à l’imposition d’un gouvernement d’Union nationale au sein duquel notre « opposition véritable » pourra faire une entrée en force.

Tenez-le pour dit. Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si et seulement si on mettait tout le système judiciaire entre parenthèses pour imposer la « réhabilitation de l’Union Nationale ».

Et ainsi disposer d’un gadget politique qui pourra se frotter tranquillement les mains en recevant les financements de l’Etat.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si on décidait de la « réhabilitation de tous les fonctionnaires et étudiants victimes de la suspension arbitraire de salaires et de bourses pour des questions d’ordre politique ». Ils ont même oublié leur rappel sur solde.

Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que si on ordonnait l’ « abandon de toutes les tracasseries et poursuites judiciaires à caractère politique en cours au Gabon ».

Tant qu’à faire, que l’on ordonne aussi à l’Etat de payer les arriérés de loyer aux « opposants véritables » justement victimes desdites « tracasseries et poursuites judiciaires » de la part de leurs bailleurs.

Oui, oui et oui ! Le Gabon ne pourra « sortir de la crise » que s’il y a « restauration de la couverture nationale de TV+ ».

Pour faire mieux, il faudra même décider que cette couverture se fasse, comme avant, avec le matériel de l’Etat et gratuitement.

Autant de mesures qui n’ont absolument rien à avoir avec le peuple. Mais il est clair, que tant que nos « opposants véritables » sont à l’aise, le peuple nage dans le bonheur infini.

La manoeuvre est bien plus que visible. L’heure n’est plus à la prise du pouvoir par les urnes, ni par les armes, encore moins par la majorité communautaire comme « les Noirs en Afrique du Sud ».

Il s’agit maintenant de jeter son orgueil et son ego par terre, de se laver les mains et passer à table.

On le savait, les gens qui n’ont jamais connu la faim tout au long des quarante deux années d’Omar, ne pouvaient physiologiquement pas tenir sept ans sans manger.

Le topo de la Conférence nationale souveraine a simplement consisté à mettre la barre haute en sachant très bien qu’on obtiendra que le minimum.

Et le minimum ce sera soit une simple concertation, soit des négociations. Mais ils le savent, eux-mêmes, mieux que quiconque : il n’y aura jamais de Conférence nationale.

Ils devront donc se contenter de ce qu’ils veulent le plus ; de ce qu’ils recherchent depuis toujours : avoir en face d’eux le PDG pour pouvoir négocier leur entrée au gouvernement.

C’est clair : tout ça, c’était pour ça !

 

Source : LA GRIFFE DU VENDREDI 13 JUILLET 2012

 

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12/07/2012

GABON : LA COURSE F1 BATEAUX CE JEUDI A LIBREVILLE

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Libreville le 12 juillet 2012 : Après Doha, c’est sans frilosité et plus motivés que jamais que les participants au Championnat du Monde de bateaux à moteur tenteront ce jeudi après midi, à 300 mètres des côtes de Libreville, de réaliser le meilleur chrono des essais libres pour s’assurer une place en pole-position.

Les courses ont été programmées pour le vendredi et samedi.

Une douzaine  de pilotes  en provenance de Turquie, du Brésil, de la Norvège, d’Angleterre, d’Italie et des pays arabes  prennent part à la course fixée à vendredi et samedi. 

Libreville inaugure ainsi  la première édition organisée en Afrique subsaharienne. Un choix raisonnable, a déclaré devant la presse, Nicolo di San Germano, le promoteur de cet événement.


En effet, le Gabon bénéficie de belles côtes et d’un magnifique front de mer à Libreville.  Autre point important, le pays a fait ses preuves dans l’organisation  de compétitions sportives d’envergure continentale, en se montrant capable de mettre en œuvre une logistique complexe et de qualité. Ce fut le cas lors de la  Coupe d’Afrique des Nations 2012.

 
Combien peut coûter un tel événement au Gabon ? 

Les frais sont pris par les sponsors et le comité d’organisation, notamment H2O Racing.  Le Gabon assure pour sa part la promotion au niveau local et apporte le soutien logistique pour la sécurité.

C’est donc une opportunité exceptionnelle pour les Librevillois d’avoir le privilège d’assister  à la course motonautique la plus grandiose au monde.  

Le pays tirera également un grand profit de cette compétition. Le Championnat du Monde de bateaux à moteur est diffusé dans de nombreux pays, pour une audience potentielle de près d'un  milliard de téléspectateurs.  

Les pilotes étant  habituellement accompagnés de leurs sponsors et des investisseurs internationaux, la course représente une formidable opportunité pour ces investisseurs d’établir des partenariats avec le pays d’accueil.

Doha et Libreville sont les deux premières étapes de la course. L’Italie, Abu Dhabi,  Dubaï et la Chine accueilleront les prochaines étapes.

Fin

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10/07/2012

GABON : LES AFFAMÉS PARISIENS DU GANG MOUTOUKI DES MABOULES DE L'exUN

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Ayant pour unique projet de société et programme politique les activités d’Ali Bongo Ondimba, les ténors de l’ex-UN et les activistes de « ça suffit comme ça », se sont rués à Paris dans le seul but d’aller perturber la visite de travail du chef de l’Etat.

Les manifestations prévues ayant tourné au fiasco général, nos stars de l’ « opposition véritable » et de la « société civile véritable » ont finalement montré le visage d’affamés qui n’ont plus le souffle de la lutte, mais le désir brûlant de revenir aux affaires. Les masques sont tombés !

A leurs militants, ils avaient promis qu’ils venaient à Lutèce pour massacrer Zeus et le contraindre à accepter la biométrie. Oui, braves gens, vous avez bien entendu !

Comme vous l’avez d’ailleurs entendu en décembre dernier, lorsqu’ils avaient juré, la main droite sur le coeur et la main gauche sur le pognon des indemnités d’anciens Premiers ministres, qu’ils ne prendront pas part aux législatives si cette même biométrie n’était pas introduite dans le fichier électoral.

Pour faire sérieux, ils avaient même sollicité la science d’un certain Marc Ona Essangui pour suppléer leur manque d’imagination.

Une location de génie qui avait quand même permis de trouver ce beau slogan gracieusement offert aux caravaniers de la contestation : « Pas de biométrie, pas d’élection ».

Ce qui, sur le politiquement correct, paraissait beaucoup plus potable que les étincelles que promettait l’alité de Mba Obame : les « moyens » dont il prétendait disposer pour « empêcher la tenue de ce scrutin ».

Slogan radical de caravaniers par-ci, promesses incendiaires du patient d’Azanie par-là, mais au finish le scrutin finira par se tenir.

Ils ont vendu aux populations que sans la biométrie, il n’y aura « pas d’élection ». 

Mba Obame a « pesé » ses « mots » pour affirmer, les yeux fixés droitement sur l’objectif de la caméra, qu’il disposait de « moyens » pour que ce scrutin ne se tienne pas.

Aucune de ces deux promesses ne sera honorée. Et nos vaillants gladiateurs de ravaler leur ardeur pour ne plus se consoler que du fort taux d’abstention. Cela s’appelle, avoir le sens de la parole donnée.

Avant de s’embarquer pour Lutèce, ils avaient annoncé une nouvelle confrontation, au corps-àcorps : la mise en place de la biométrie avec leurs deux exigences que sont leur implication dans le processus et l’identification biométrique de l’électeur dans le bureau de vote.

Et nos « véritables » de jurer que cette dernière est la condition sine qua non de leur participation aux prochaines locales.

Même que le verbe du Hutu modéré de Nkembo résonnait le métal tant l’incandescence de son propos promettait du moua-moua. A défaut, bien entendu, du boycott.

En sautant dans les avions, tous ces amants de la biométrie avaient confié à leurs supporters que dès leur retour, la bataille de la biométrie allait être relancée.

Mais voilà qu’une fois à Lutèce, tout ce beau monde va être sèchement recadré par leur prophète AMO.

De sa canne magique, le patient de Neuilly va réussir à leur faire accepter l’idée que la bataille, la vraie, n’est plus biométrique ou électorale car la transparence électorale, n’est pour le moment qu’une belle foutaise.

Les manifestations bruyantes anti-Zeus dans Paris, de l’agitation de gamins.

Selon André Mba Obame, ce qu’il faut, ce dont le peuple gabonais a besoin urgemment, ce ne sont pas les emplois, les routes, les écoles, les hôpitaux. Non, non et non !

Le médium de Neuilly le sait mieux que ses amis du Gabon : ce que les Gabonais veulent aujourd’hui, c’est d’une nouvelle Conférence nationale . Rien que ça !

Mais, la clairvoyance d’AMO est sans borne. Toujours depuis Neuilly, où son inspiration est visiblement aussi étirée que sa canne, notre petit Mobutu de Neuilly a même dressé une liste exhaustive des attentes du peuple gabonais.

Une liste qui part de « la dissolution de l’Assemblée Nationale », aux réhabilitations « de l’Union Nationale » et de « tous les fonctionnaires et étudiants victimes de la suspension arbitraire de salaires et de bourses pour des questions d’ordre politique », en passant par l’ « abandon de toutes les tracasseries et poursuites judiciaires à caractère politique en cours au Gabon », « la restauration de la couverture nationale de TV+ et la restitution de son matériel confisqué à ce jour par la Garde Présidentielle ».

Bref, ne survivront que le Sénat et les juridictions constitutionnelles.

A comparer la litanie des exigences contenues dans leur chronogramme de « sortie de crise » avec la convergence de points entre François Hollande et Ali Bongo Ondimba, il y a lieu de craindre, très sérieusement, que le petit Mobutu de Neuilly ait besoin d’une chose beaucoup plus consistante que sa canne.

Parce que, entre la satisfaction, par Hollande, des avancées démocratiques du Gabon, de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, il est clair que le « concours » de la France ainsi sollicité ne sera en définitive qu’un coup de canne dans l’eau de la Seine.

 

Source : LA GRIFFE DU SAMEDI 7 JUILLET 2012 

 

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GABON : Quand l’opposition moutouki du gang des maboules de l'exUN avoue son Waterloo parisien !

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Avant que la « presse véritable », celle qui véhicule la bonne parole de l’ « opposition véritable » ne vienne, entonner le cocorico pour annoncer le sacre de ses prophètes à Paris, nous laissons deux opposants donner leur avis sur l’escapade parisienne de leurs propres collègues.

Pour l’opposant virtuel, mais non moins historique, Daniel Mengara du BDP, il faut tout simplement admettre la défaite de l’opposition. Lecture :

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Sans commentaire ! Sauf d’offrir au malheureux un kleenex pour ses larmes… Mais le pauvre Mengara n’est pas le seul à admettre cette débâcle.

La dernière égérie de l’opposition, celle qui fait désormais tabac sur la toile sous le nom mvettologique de Dworaczek Bendome, est plus guerrière que tous les gladiateurs de mvogh-étsang.

La Une de son journal en ligne est une condamnation sans appel :

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De quoi envoyer toutes les stars présentes sur cette photo directement à « Sans Famille ». Mais cette image n’est rien à comparer à l’article du texte lui-même. Ce n’est pas un article, mais carrément une torture.

Lecture : « Chronique d’une débâcle attendue !!! Tout le petit microcosme Gabonais de France était en émoi, arrivée du Gabon en fin de semaine dernière, l’opposition politique, la société civile et la diaspora gabonaise de France annonçaient que la rencontre prévue entre FRANÇOIS HOLLANDE et ALI BONGO ONDIMBA ne se ferait pas, si eux, n’étaient pas reçus à l’Elysée avant ce dernier. Ubuesque ?

Au moment du bilan, ni photo triomphante avec Mr Hollande sur le perron de l’Elysée, même au siège du parti socialiste, rue Solferino à Paris, dont les responsables ne sont pas tenus par le protocole, là aussi, pas de tapis rouge, caméra et entretien à la sortie avec la presse.

Le changement ce n’est pas Maintenant !

Pour entretenir l’illusion, les téméraires opposants ont mis en ligne une photo pathétique, où l’on peut voir les grands tenants de l’ordre d’hier entourés d’un simple conseiller en stage dans un minuscule bureau de l’Elysée, où ils ont d’ailleurs du mal à tous se tenir.

Quel contraste !

Quel gâchis !!!

Tout ça pour ça !

Blanc bonnet, bonnet blanc !

Mais qui peut réellement s’étonner de ce résultat en demi-teinte ?

En quoi l’opposition et sa délégation se différencient du pouvoir en place au Gabon ?

Des anciens apparatchiks, hors des ors de la république depuis 3 ans, obligés de faire «le pied de grue » devant la présidence Française pour déposer leurs revendications.

Pour cette ultime rencontre, ils seront reçus quelques instants par un simple conseiller. Un bien maigre résultat.

On dit souvent qu’avant de parler, il faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche.

Avant de proclamer sa victoire, il faut s’assurer de la défaite certaine de son adversaire Françafrique ?

Non, simple réalisme, les hommes passent, l’état demeure et la continuation des rapports aussi, la défense des intérêts de la France n’a pas de camp, encore moins de couleur politique, Hollande ou Sarkozy, c’est la France d’abord.

Les turpitudes des uns et des autres ne changent pas grandchose aux enjeux présents au Gabon. Les deux camps manient le sectarisme et l’intolérance mais ils n’ont qu’un but, plaire à la France et revenir à la table des repus comme autrefois.

Il ne faut dont pas confondre leurs attentes avec les aspirations légitimes des populations locales. Pouvoir et opposition, deux faces d’une même unique pièce, une élite déconnectée et préoccupée que de son devenir.

Si ces personnalités avaient souci des citoyens ordinaires gabonais, ils n’auraient pas besoins de venir « faire les paons » à Paris.

La légitimité du peuple leur aurait suffit pour continuer le combat, le peuple parle de la « soif de justice », exige une répartition équitable des richesses du pays entre tous, la justice économique, sociale, politique, environnementale et la libre expression. L’élite parle de poste et de conférence souveraine. »

A part quoi, tout baigne dans l’opposition…

 

Source : LA GRIFFE DU SAMEDI 7 JUILLET 2012 

 

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GABON : DESSOUS DU FIASCO DU GANG DES MABOULES DE L'exUN A PARIS

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Avec la rencontre Ali Hollande, la guerre de l’intox a franchi un nouveau palier. Pour masquer tant bien que mal l’humiliation de la bande à AMO à Paris, les écrivassiers va-en-guerre militant pour « la cause » (tu parles !) font vainement feu de tout bois dans leurs tentatives de minimiser l’étendue de l’amateurisme des aigris de l’ex UN.

Comme des moineaux, ils se sont précipités à Paris quand bien même ils savaient pertinemment que personne, pas même le plus petit conseiller de Hollande ne les a invités.

Mais comme il aurait été mal vu par les militants de rester à Elbève, il fallait donc faire semblant d’être sur place, là où les choses se passent. Du coup, la supercherie se révèle un peu plus facile à monter.

D’où, les yeux dans les yeux, Harley n’a pas hésité une seule seconde à brandir une obscure photo où l’on aperçoit la bande à AMO, sourires jaune carnassier qui braquent littéralement un conseiller stagiaire qui venait de leur recevoir dans les cuisines !

Voilà à quoi ont été réduits les comploteurs comme AMO, les grands voleurs qui n’en ont jamais assez comme Myboto et les autres petits rancuniers. Ca c’est pour le côté jardin qui est caché aux militants.

Quant au côté cour, lisez et régalez-vous... Cinquante billets d’avion payés par Myboto pour le convoyage vers Paris des activistes de la « Société civile véritable », et pas un seul syndicaliste présent à la « monstrueuse manifestation » qu’avaient pourtant annoncée leurs alliés de « Survie » et « Sherpa ».

Le décompte n’est pas de « La Griffe » ou de « La Légion étrangère » du Palais, mais plutôt d’un journal français : « Les Dernières Nouvelles d’Alsace », qui ne saurait être soupçonné d’être « financé par le Palais » ou encore de faire partie de « la presse du troisième étage ».

Dans sa version électronique, « L’Alsace.fr » nous apprend que la grande manif d’AMO n’a rassemblé, en tout et pour tout qu'en fait une trentaine de personnes, la préfecture de police de Paris a recensé vingt-huit (28) personnes.

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Avec ce détail de taille : 27 Blancs, et un seul noireau : Georges Mpaga.

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Et si Mba Obame lui-même a évité de faire le déplacement, cela n’a rien à avoir avec son état de santé. Il se trouve seulement que son visa ayant expiré depuis deux mois, la moindre interpellation aurait eu pour conséquence immédiate, l’expulsion…

Mais ce fiasco, n’a pas été le seul. Bien avant l’arrivée de Zeus, AMO, Eyeghe Ndong et Myboto ont organisé une conférence débat.

Seuls six (6) étudiants ont répondu à l’appel, le reste de l’assistance n’étant composé que de syndicalistes importés de Libreville.

Et c’est le moment choisi par les caméramans de « Malabo 24 » pour commencer à filmer l’assistance. Grand brouhaha et camouflage général des visagesà l’aide de pans des redingotes.

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Les esprits s’échauffent et la caméra du cadreur est brutalement arrachée par des syndicalistes hurlant au guet-apens. AMO est directement tancé de les avoir entraîné dans un piège. Ambiance !

Un : « Vous ne nous avez jamais dit que nous serions filmés ».

Deux : « Vous allez nous donner quoi quand on va nous enlever du travail ? » Trois : « Si on nous voit à la télé, en tout cas, vous allez voir ça ». Et toc !

C’est alors qu’AMO prend la parole pour rassurer les uns et les autres qu’il a le contrôle total des journalistes et que ces images ne seront pas diffusées.

Mais ces paroles ne rassurent personne et la grogne commence à monter. Pour faire diversion, on prend la décision d’anticiper le service du cocktail pourtant prévu qu’à la fin de la conférence.

Ce sont les coupes de champagne et les petits fours qui ont finalement réussi à divertir la colère des syndicalistes.

Promettre aux syndicalistes qu’on a le pouvoir de censurer un média international à l’indépendance mondialement reconnue, AMO est unique.

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Source : LE GRI-GRI DU LUNDI 9 JUILLET 2012 

 

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